Il y avait en ce temps-là des océans de lumière et des cités dans les cieux et de farouches bêtes volantes en bronze... C'était le temps des dieux qui se manifestaient sur notre monde en tous ses aspects, le temps de la magie et des fantasmes... C'était un temps de richesse et un temps d'obscurantisme. Le temps des Maîtres de l'Épée. Le temps où se mouraient les Vadhaghs et les Nhadraghs, ennemis de temps immémorial. Le temps où l'Homme, esclave de la peur, commençait à se manifester, apportant avec lui la mort et la terreur... Mais il eut toujours des êtres pour livrer combat à l'inexorable. Le Prince Corum Jhaelen Irsei, le dernier des Vadhaghs, qu'on appelait parfois le Prince à la Robe écarlate, était l'un d'eux. La présente chronique se rapporte à lui. Le Cycle de CORUM est considéré comme le chef d'œuvre de Michael Moorcock dans le domaine de l'épopée fantastique.
Il y avait en ce temps-là des océans de lumière et des cités dans les cieux et de farouches bêtes volantes en bronze... C'était le temps des dieux qui se manifestaient sur notre monde en tous ses aspects, le temps de la magie et des fantasmes... C'était un temps de richesse et un temps d'obscurantisme. Le temps des Maîtres de l'Épée. Le temps où se mouraient les Vadhaghs et les Nhadraghs, ennemis de temps immémorial. Le temps où l'Homme, esclave de la peur, commençait à se manifester, apportant avec lui la mort et la terreur... Mais il eut toujours des êtres pour livrer combat à l'inexorable. Le Prince Corum Jhaelen Irsei, le dernier des Vadhaghs, qu'on appelait parfois le Prince à la Robe écarlate, était l'un d'eux. La présente chronique se rapporte à lui. Le Cycle de CORUM est considéré comme le chef d'œuvre de Michael Moorcock dans le domaine de l'épopée fantastique.
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